Par Houmi Ahamed-Mikidache
La cinquième conférence sur les changements climatiques et le développement en Afrique a été l’occasion de réfléchir sur les résultats obtenus lors des dernières négociations de la Convention Cadre des Nations Unies sur les changements climatiques ( CCNUCC). Pour ,Landry Ndriko Mayigane, médecin, 34 ans, ce type de conférence permet aux africains de se préparer aux négociations de la CCNUCC. C’est aussi un moyen pour les jeunes africains de partager leurs expériences.
Pendant trois jours, experts de tout bord, ont revisité l’article 2 de la CCNUCC qui revient sur la stabilisation de la concentration des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, la fixation d’un délai qui permettrait l’adaptation aux changements climatiques et la nécessité d’un développement durable.
A Victoria, il fait chaud, très chaud. Pour lutter contre la chaleur intense, Margareth Kolli, 29, Kenyane, conseillère pour ONU Habitat à Nairobi, la solution viendrait de l’architecture et des connaissances traditionnelles.
Du 30 Novembre au 11 décembre prochain, 196 parties se réuniront à Paris lors de la COP21, Margareth Kolli, Landry Ndriko Mayigane et d’autres jeunes essayeront de faire entendre leur voix d’experts.
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